jeudi 30 juin 2011

Gabrielle Roy à la gare de Saint-Henri à Montréal


La gare de Saint-Henri. Gabrielle Roy est appuyée sur la clôture.
29 août 1945

#P48, P11909

©Collection des Archives nationales du Québec, fonds Conrad Poirier.

mercredi 22 juin 2011

mercredi 15 juin 2011

La Route d'Altamont : En voiture à travers la plaine du Manitoba.


Quatre récits composent la trame de ce roman où Gabrielle Roy poursuit - en l'approfondissant - l'exploration de sa propre condition de femme et d'écrivain qu'elle avait entreprise dans Rue Deschambault. Christine, cette fois, découvre les grands mystères de l'existence et de la création: le passage et l'éternité du temps, la suite des générations et des âges de la vie, les risques de l'errance, la dure nécessité de rompre si l'on veut accomplir son destin. Exaltantes ou déchirantes, ces découvertes se font pourtant à travers les expériences les plus familières, comme une randonnée en voiture à travers la plaine du Manitoba.






Publié chez Boréal compact



Quand on aime la vie, c'est alors qu'elle même nous aime le plus, comme par un prodige d'entente.
[Gabrielle Roy]

mercredi 8 juin 2011

Gabrielle Roy a son mont

Mont Gabrielle-Roy

Chaîne des Laurentides.
Altitude - 715 m.

Ce Montrappelle le souvenir de la romancière Gabrielle Roy.
Sur le versant gauche du bassin du Saint-Laurent, à proximité de Petite-Rivière-Saint-François. Région touristique de Charlevoix.

Source : La mémoire du Québec..



mardi 31 mai 2011

Que serions-nous sans les arts ?....



Un dessin animé des élèves de l'école publique Gabrielle-Roy de l'Atelier d'arts médiatiques. Un petit bijou que je vous partage. Naïf et plein d'enfance comme l'oeuvre de l'auteur. Beau panorama de son parcours littéraire et de vie.. Bonne découverte !! Date de 2011.

mardi 12 avril 2011

PREMIÈRE ÉDITION DE LA DÉTRESSE..





Publié en 1985, un an après son décès.

mardi 5 avril 2011

L’hôtel Port-au-Persil



L’hôtel Port-au-Persil, alors tenu par les demoiselles Bouchard, était un lieu paisible et accueillant, apprécié pour sa table simple et réconfortante. Gabrielle Roy, Jean-Paul Lemieux y sont venus, ont séjourné dans cette maison, l’une y cherchant la solitude et la présence intérieure qu’exige l’écriture, l’autre y captant la lumière pour la répandre dans ses tableaux.



Source : www.petitemadeleine.com/historique.html

samedi 26 mars 2011

Un timbre commémoratif



Publication : date inconnue ( 1996 ? )

samedi 19 mars 2011

Sur la rue Deschambault




Illustration de Walter J. Phillips


Source : Le blog THE FEARLESS READER

samedi 12 mars 2011

Gabrielle raCONTE...

Ma vache Bossie, Courte-Queue, L'Empereur des bois, L'Espagnole et la Pékinoise, ces 4 histoires d'animaux sont réunies ici pour la première fois.En même temps que commence la parution de l’Édition du centenaire des œuvres de Gabrielle Roy, le Boréal republie ses magnifiques Contes pour enfants, parus sous forme de recueil à l’origine en 1998.
Parution : 15 septembre 2009, 120 pages



http://www.editionsboreal.qc.ca/catalogue/livres/contes-pour-enfants-1708.html

samedi 5 mars 2011

Visages de Gabrielle Roy

Gabrielle Roy à l'époque où elle était journaliste
dans les années quarante.

dimanche 27 février 2011

The tin flute : la première édition


La version anglaise de Bonheur d'occasion son premier roman fut publié en 1947, deux ans après la version originale.

jeudi 24 février 2011

Album de Florentine par Miyuki TANOBE 3



Rue De St-Henri à l'époque de l'hstoire de Bonheur d'Occasion

mercredi 26 janvier 2011

Sillons



L’idée de ce projet est née en 2007. Il me semblait naturel, voire
essentiel, de célébrer le centenaire de la naissance de l’inoubliable
Gabrielle Roy de façon spéciale et unique, dans sa province natale,
le Manitoba. Il allait de soi aussi que ce serait par le biais de la
littérature que cet hommage se ferait. Cela s’imposait dans la
mesure où je voulais honorer celle dont la volonté d’écrire naît et
se manifeste à Saint-Boniface, presque comme une « illumination
», selon François Ricard qui écrivait dans La métamorphose
d’un écrivain : «On a l’impression […] que seule compte
désormais l’écriture, où va se résumer dès lors toute l’activité de
Gabrielle Roy. »



Lise Gaboury-Diallo
Sillons : hommage à Gabrielle Roy
Extrait de son introduction
288 pages
Éditions du Blé
Date de parution : 2009

http://www.livres-disques.ca/editions_ble/home/editeur_detail.cfm?id=37

mercredi 19 janvier 2011

Aux Sources de Petite Rivière...

On peut lire sans rien savoir. Gabrielle Roy écrivain dispose d’un chalet à Petite Rivière Saint-François : à une heure de route en aval de Québec, par la 138 qui longe la côte Nord du fleuve, un hameau où des maisons espacées se suivent, sur quelques kilomètres, au bas d’une montagne dévalant brutalement ses 700 mètres directement dans le fleuve. Aujourd’hui, on a renommé mont Gabrielle-Roy la petite montagne devenue station de ski industriel. Mais la puissance du paysage annule tout le reste. La route finit, une petite voie de chemin de fer continue. Il n’y a plus de chemin, on marche sur les traverses. Au bout d’un kilomètre, la voie contourne un rocher ocre qui tombe à pic, enfermant un trou d’eau.

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Gabrielle Roy, période Détresse et enchantement

Cette ballade est offerte à tout le monde. Nous l’avons faite (et grimpé les 700 mètres dans les érables et les épinettes, aussi). Difficile de savoir quel était le chalet de Gabrielle Roy : la fondation qui en est propriétaire a enlevé tout signe distinctif pour éviter l’afflux touristique. Dans C’était un bel été, cinq fois, ou six, à des époques et des âges différents, la narratrice et sa soeur, dont rien d’autre n’est dit, font cette même promenade jusqu’au trou d’eau. On parlera des reflets sur le fleuve, des îles qui surgissent ou s’évanouissent, des oiseaux et d’autres animaux, de la chute ocre du rocher sur le trou d’eau. Entre les séquences sur la track (ainsi nomme-t-elle la voie), une séquence où simplement, et la soeur est là aussi, on examine le temps et l’espace depuis l’arbre dans le jardin, et une autre fois où, simplement aussi, on descend jusqu’au fleuve, on s’assoit sur les pierres noires qui le bordent.




http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article1989